Siem Reap et...les temples d'Angkor!

Arrivée à Siem Reap, 5h55.

L’arrivée était initialement prévue vers 7h-8h − étonnant, nous sommes arrivés en avance ! − donc nous avions convenu avec la guest-house que nous avions réservée (première réservation du voyage depuis notre atterrissage au Vietnam !) qu’un tuk-tuk viendrait nous chercher à cet horaire-là. Un peu d’attente nous guettait alors. Pas grave puisque nous avions chacun trouvé un nouveau pavé à lire nous passionnant !  

Arrivée à la Green Park Village Guest-house à 7h10 environ.

Nous commençons par négocier d’avoir un premier petit déjeuner ce matin-là et non le dernier jour (oui le petit déjeuner est compris dans la nuit quel bonheur !) et ça ne marche pas du premier coup… Mais il y avait un hic dans la réservation, ils n’avaient pas de lit double pour la première nuit. Quand le réceptionniste a vu la tête de Séréna (pas beaucoup dormi, faim, mécontentement) il a cédé pour le petit déjeuner. C’était une sorte de buffet. Youri fut fou de joie : manger de façon illimitée !

Il s’agissait alors d’organiser la visite des temples d’Angkor. Pas une mince affaire : prix élevé, multitude de temples, temps restreint. Après quelques années de réflexion, nous avons opté pour le pass trois jours, histoire de ne pas courir et de se laisser aller dans la mystérieuse atmosphère angkorienne. Foutaises. Nous avons un peu couru…en fait nous avons surtout bien roulés, avec les vélos prêtés par la guest-house. Pas de regrets, c’était de toute façon impressionnant !

Nous avons acheté les billets à 16h30, le jour de notre arrivée car cela permettait d’entrer dans le parc avant la fermeture alors que le pass ne commençait que le lendemain.

Première rencontre avec Angkor Wat pour Séréna. Nous y sommes retourné le lendemain matin vers 7h30, c’est-à-dire avant qu’il n’y ait trop d’attroupements qui rendent la visite désagréable.

Angkor = ville / capitale.



Nous vous joignons un plan trouvé sur internet (non nous ne l’avons pas fait par nous-même…) pour mieux saisir de quoi nous parlons.




Banteay Kdei
J1 : Angkor Wat – Ta Phrom – Banteay Kdei – Srah Srang - Kravan


J2: Angkor Thom (Baphuon, terrasse du Roi lépreux, terrasse des éléphants, Phiméanakas, Preah Palilay, Bayon) – Preah khan


J3 : Ta Phrom











Apsara

Ces trois jours dans les temples, nous ont conduits à rencontrer une multitude d’Apsara, danseuse typique de l’art khmer, dans les bas-reliefs et les statuts;

 mais également la scène mythique du barattage de la mer de lait qui produit le nectar d’immortalité et est représenté par des dieux et des démons qui tirent sur un naga, serpent à plusieurs têtes ;

des lingams, symboles phalliques représentant Shiva, un des trois dieu de la trinité hindou ;

 Vishnou, le deuxième dieu de la trinité hindou (le troisième étant Brahma) ;

Bouddha, vous savez qui il est ;








le Ramayana, la guerre entre Rama, le prince et septième avatar de Vishnou, et Ravana, un démon, car ce dernier a enlevé Sita la femme du prince.

L’ensemble des temples d’Angkor ont été construit à des périodes différentes (à peu près entre l’an 850 et 1300). Par conséquent, on peut admirer des styles distincts mais aussi apprendre sur l’histoire de cette époque. Selon les périodes, les Rois ordonnant les constructions étaient hindouistes puis bouddhistes ce qui aboutit à ce mélange de divinités et d’architecture.
Nous ne décrirons pas vraiment les temples que nous avons vu car cela est vu et revu ( à condition de chercher bien sûr) mais donnerons quelques impressions.







Angkor Wat, le mythique temple qui flotte sur le drapeau du Cambodge



Séréna l’a trouvé plus petit que dans son imaginaire pourtant il est déjà très grand. Les nombreux bas-reliefs qui s’y trouvent sont plutôt fascinants. Quel travail, quelle finesse ! Des Apsara dansent dans tous les coins, les scènes du Ramayana et du barratage de la mer de lait sont tellement fournies de détails et de personnages ! Presque chaque colonne à son bas-relief ! La vision des tours à partir de leurs pieds est envoûtante. Et si la foule accourt à Angkor Wat, nous avons toujours eu la possibilité de trouver des moments de calmes, en restant assis à rêvasser. Du sanctuaire qui se trouve en hauteur, on peut admirer la forêt alentour et le monument à partir du haut. Des couloirs sombres et des statues abîmées ; certaines sans tête, sans bras, parfois plusieurs membres manquent. Mais Angkor Wat, c’est aussi la cohue, les gens qui se prennent en photo dans tous les sens, les vendeurs à la sauvette qui veulent vous faire acheter des livres, des vendeurs de boisson, de vêtements, de cartes… Nous avons assisté à la séance photo d’un couple de marié descendant les marches derrière l’entrée du temple.



Ta Phrom, l’endormi envahit par les fromagers

Fromagers ? Non, pas de fromage en perspective malheureusement. Ce sont seulement les arbres qui poussent sur un certain nombre de temples. Leurs graines, transportées par le biais des excréments d’oiseaux, atterrissent à bien des endroits, ce qui conduit les arbres à pousser n’importe où, y compris au-dessus des pierres des temples. Cette emprise de la nature est impressionnante et rend le temple singulier. Des dédales de couloirs enfermés dans des murs ou derrière des piliers, des tours, des roches rosées, grises et vertes, de la mousse qui envahit les pierres et les fromagers qui reposent dignement. Mais qui aussi menacent le temple de s’écrouler…


Avec un regard aiguisé (ou plutôt grâce à l’explication d’un guide) on constate, entre des racines coulant sur les murs, la tête de Vishnou sculptée sur la pierre et résistant à l’invasion de l’arbre.
Nous l’avons visité une première fois vers 12h pensant qu’il y aurait moins de monde mais que neni…Des groupes de touristes asiatiques se prenant en photo les uns après les autres devant chaque pierre et chaque arbre ont eu raison de nous. Nous avons préféré abandonner pour revenir le visiter au calme, un matin très tôt. Nous sommes donc revenus à 7h du matin. Peu de gens, une très belle lumière et des oiseaux gazouillant. Le bonheur, c’était plus qu’appréciable. A notre départ à 8h, de nombreux groupes entraient dans le temple. Des groupes de touristes occidentaux cette fois. Mais les asiatiques n’étaient pas loin, nous les avons croisés sur la route. Des centaines de tuk-tuk peut-être… Des cars entiers de touristes venus admirer la même chose.



Banteay Kdei, l’appel à la sérénité

Ce temple est un  peu moins connu pourtant tout aussi charmant. Il est donc beaucoup plus calme, dans un parc entouré de murailles. Les nombreuses cours permettent d’admirer des bas-reliefs, des sculptures, des tas de roches ayant dégringolées, des tours… les oiseaux…la musique au loin.



Srah Srang

Angkor Wat
Grand lac en face du Banteay Kdei.

Kravan, le temple cheminé

Petit temple fait de tours en briques de couleurs rose-orangé. Certaines tours sont fermées et d’autres non. Cela donne l’impression que certaines parties ont été restaurées mais pas l’ensemble. Les tours semblent avoir été reconstruites.






Baphuon, la pyramide d’escaliers

Ce temple montagne construits avec de nombreux escaliers pour atteindre le sommet évoque les pyramides aztèques. La foule se pressant à notre arrivée (vers 9h, mauvaise heure), nous effraie un peu. Pourtant, une fois passés quelques escaliers moins de personnes assombrissent notre paysage. Le temple est très beau. Les colonnes, les couloirs, la vue du haut mais surtout sa prestance lorsque nous sommes à ses pieds. Derrière se trouvait un gigantesque bouddha couché dans les pierres du bâtiment qui a été restauré. Cependant, un œil avisé seulement le remarquera !
Après cette visite, nous nous sommes baladés dans le parc qui entoure les restes du palais royal. Les arbres apportent la fraicheur de l’ombre. La foule disparait. Les animaux poussent leurs cris. Un havre de tranquillité.






Baphuon





Phinéakeas
, la pyramide orangée





Un des restes du Palais Royal. Des marches escarpées permettent d’admirer la vue de haut. Les pierres qui le forment sont de couleur différente : plutôt orange.












Preah Palilay, petit temple parmi les grands arbres 

Ce temple situé en dehors des murailles du parc de l’ancien Palais Royal, mais dans la forêt quand même, est une bouffée d’air frai entre les monuments connus et reconnus donc pleins de monde ! Un grand bouddha dans l’entrée est décoré par la fameuse tunique orange pailletée dont jouissent de nombreuses statues de bouddha. Les offrandes attendent à ses pieds. Une petite tour, des arbres qui s’immiscent dans le temple et presque personne.

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Bas-relief sur la terrasse du Roi Lépreux
Terrasse du Roi Lépreux 

Les bas-reliefs qui encerclent la terrasse sont remarquables.


Terrasse des éléphants 


De très beaux bas-reliefs également. Pourtant, la chaleur écrasante ne permet pas d’en profiter un maximum.












Preah Khan, la cité des perroquets



Ce temple appelle au calme et à la sérénité. Cela donne envie d’y rester seul pour écouter les oiseaux – Youri a remarqué de nombreux perroquets – sentir l’atmosphère qui se dégage de ses vieilles pierres qui en ont vu tant. Dans ce temple, les fromagers œuvrent également. Certains ont été coupés et on remarque leur bout de tronc asséché sur les pierres.










Bayon, ou les milles visages

En fait, il n’y en a que 148, c’est­-à-dire 37 tours du haut desquelles s’érigent 4 visages chacune. A l’origine, il y avait 54 tours donc 216 visages. Il n’y en a jamais eu mille mais bon on aimait bien l’expression…




Le Bayon fait partie des plus célèbres des noooooooombreux temples qui se trouvent aux alentours de Siem Reap, et il y a une raison à cela ! Il a la particularité d’être le temple des têtes, toutes regroupé par 4, tournées vers les quatre points cardinaux, sur un pilier central. Ces visages sont censés représenter Brahma ou Bouddha selon nos lectures. « Une mer de tête », comme dirait Séréna, qui rend ce temple incontournable, de par son atmosphère et ses sculptures. Nous l’avons visité à la fin de la journée pour profiter de la lumière de fin d’après-midi sur les « milles visages ». On y trouve également une fresque magnifiquement conservée qui représente la vie des cambodgiens de l’époque : marchés, loisirs, travail, accouchement, bateaux, pêche, vendeurs de rue, la vie quoi !






Pour finir, un monde fou se précipite vers les temples d’Angkor (tout comme nous) et cela ne rend pas la visite évidente. Chaque temple que nous avons vu était très beau. Ceux qui sont moins connus sont tout aussi appréciables. Ils sont moins bondés et leur allure vaut le coup d’œil ! La visite donne envie de s’y retrouver seul  pour apprécier la part de mystère qui réside dans ces bâtiments.


Angkor Wat, encore ?! (classique)
De nombreux cambodgiens se pressent pour installer leur commerce de nourriture, boissons et vêtements. Mais toutes ces échoppes sont si nombreuses. Les vendeuses et les vendeurs cherchent le plus possible à attirer la clientèle, ce qui entraine des scènes surprenantes. Nous avons bu un café dans une gargote se trouvant au milieu d’une rangée d’autres gargotes proposant exactement les mêmes services. Sur le côté, un muret ne permettait pas d’avoir une vue dégagée sur le passage des visiteurs. Ainsi, environ cinq personnes faisaient le guet. L’une debout sur une pierre derrière le mur, l’une assise sur le mur et d’autres sur des chaises un peu plus loin, là où le muret était écroulé. Elles repéraient les visiteurs qui passeraient devant les échoppes, une personne allant les accueillir à leur arrivée. De l’autre côté, une dizaine de chaises installées en groupes permettaient aux autres vendeuses de rester assise et d’admirer le spectacle des arrivées pour proposer leurs services ! Une scène assez délirante.

Ces trois jours accaparant une grande énergie ne nous ont pas permis de visiter beaucoup plus Siem Reap et ses environs. Toutefois, nous nous sommes baladés dans les rues touristiques du centre-ville et avons visité les « Artisans d’Angkor ». Les petites rues de la vieille ville sont certes très jolies mais ont tout d’un parc touristique : restos, bars, magasins de souvenirs en tout genre, tuk-tuk en surnombre…etc. Si la balade est agréable dans l’après-midi, au calme, cela parait quand même assez surfait.

« Artisans d’Angkor » est une entreprise qui a pour objet la formation aux métiers d’artisanats pour les jeunes issus de milieux ruraux. Leurs formations permettent d’apprendre la sculpture sur bois, sur pierre, la peinture laquée, le tissage, l’orfèvrerie et autre. Leurs ateliers se visitent gratuitement à Siem Reap. 

Bouddha de bois

Ils ont également une ferme de soie qui se trouve à 16km de la ville mais dont une navette gratuite est mise à disposition pour la visite. La découverte du processus qui aboutit à la soie nous a fascinés. Nous avons découvert comment les vers se nourrissent puis forment le cocon qui sera utilisé pour faire la soie. Le processus qui s’engage alors est parsemé d’étapes. La séparation de la soie la plus fine et de celle la plus rude se fait grâce à la constitution du cocon : ce qui se trouve sur le dessus sera utilisé pour faire la soie la plus rèche et ce qui constitue la partie la plus dure du cocon, vers l’intérieur, produira la soie la plus fine et la plus précieuse ! Les cocons sont séchés au soleil puis bouillis pour tuer le ver et surtout récupérer les fils de soie facilement (en vrai tout ça est un peu plus compliqué mais un cour pour fabriquer de la soie n’est pas le propos ici). A l’aide de machines abracadabrantes, les femmes qui travaillent – ce sont exclusivement des femmes – récupèrent d’abord les fils de soie rude puis ceux de la soie plus précieuse avec un mécanisme un peu plus compliqué. Les bobines qui sont faites avec ces fils de soie sont retravaillées pour rendre les fils encore plus fins…Cela avec une machine encore plus folle que les autres. Mais les ouvrières sont nécessaires pour faire suivre le processus. Ensuite, arrive le moment de la teinture avec des produits naturels : des fruits, des écorces, des feuilles sont utilisés pour la coloration des vêtements. Un groupe de femmes et un homme dépècent des fruits qui produiront la teinture orange. La dernière étape, qui n’est pas celle la plus facile, est le tissage. Une activité fascinante. Un travail minutieux fait par la main de ces femmes. La description d’un tel travail est impossible mais nous devons dire que la création des motifs, des reliefs, des différentes couleurs sur les étoffes de soie relèvent d’un travail bien minutieux. 



Ainsi, la fabrique de la soie telle que nous l’avons découverte est une production manuelle. Derrière chaque étoffe de soie se trouvent plusieurs femmes qui ont travaillé des heures durant. Quand on regarde ça, on se dit que la patience qu’elles ont est exceptionnelle mais on se dit également qu’elles ne font pas cela pour le plaisir de l’artisanat… La visite organisée pour les touristes permet de faire connaitre leur travail et surtout de vendre puisqu’il y a une boutique à la fin mais ce type de rencontre laisse toujours une impression étrange. Des guides sont prévus pour faire découvrir le travail. Toute la journée les ouvrières sont regardées par des groupes de touristes et très peu de contact existe entre les groupes et les ouvrières. Que pensent-elles de tout cela ? Peut-être pas grand-chose mais nous ça nous pose des questions et nous frustre… De plus, le fait que cela ne soit que des femmes qui travaillent - nous avons vu deux hommes dans les ateliers de soie, par contre tous les guides sont des hommes– rappelle que le travail ouvrier est une tâche qui semblerait être réservée aux femmes au Cambodge. Dans les différents lieux que nous avons visités, on peut remarquer en fin d’après-midi les camions transportant de grands groupes de femmes qui sont déposées à leur village après leur travail à l’usine. La répartition des tâches est assez flagrante : le travail de chauffeur est pour les hommes, le commerce dans la rue et sur les marchés plutôt pour les femmes même si quelques hommes s’y adonnent. Le travail à l’usine pour les femmes. Dans le secteur des restaurants et logements touristiques, c’est plutôt mélangé.


Angkor Wat



Siem Reap était donc notre dernière étape au Cambodge. Pour notre part, nous sommes plutôt heureux d’avoir commencé le séjour dans le pays par des étapes moins touristiques (Banlung et Kratie), cela nous a permis de plonger plus facilement dans la vie cambodgienne si l’on peut dire. Bien que les temples d’Angkor soient majestueux et reconnus dans le monde entier, nous garderons une image du Cambodge non pas focalisée sur ces monuments mais nourrie par la découverte des rizières, des villages, des petites villes situées en bord de rivière, des marchés grouillants, des tuk-tuk, des cafés glacés au lait concentré, du jus de canne à sucre, du amok au poisson, des maisons coloniales ternies par le temps, des maisons en bois sur pilotis… des gens bien sûr, de nos différentes rencontres et bien d’autres choses !






Angkor Wat



Nous quittons ainsi le Cambodge par la frontière de Poipet/Aranyaprathet, et retrouvons la Thailande, pour de nouvelles aventures !

Porte Ouest Angkor Thom

6 commentaires:

  1. Magnifique!

    Heureux d'apprendre que vous n'êtes pas (qui l'aurait imaginé) les touristes FRANCAIS qui se sont baladés à poil et qui se sont pris en photo dans les temples cette semaine.
    A bientôt
    Coco

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  2. Ha oui j'ai vu ça, trois touristes français ! je propose pour eux la peine de curage des chiottes (de toutes les chiottes) du site d'Angkor à la brosse à dents.
    Sinon vous êtes vraiment courageux d'avoir fait les visites en vélo, chapeau ! rien à dire vos photos disent toute la beauté du site et en plus on a l'impression que vous étiez seuls au monde.
    très gros bisous à tous les deux

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  3. En relisant votre post je me disais que votre réflexion sur la place des femmes dans le monde du travail que vous avez sur le Cambodge vaut pour ...eh ben disons le ! la totalité de l'humanité...!
    Avec peut être quelques petites nuances admettons le (mais si petites et si superficielles...)
    Toujours plein de gros bisous

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  4. durante mi infancia vivi en un jardin y cultivabamos gusanos de seda, teniamos un arbol de morera que es lo que comen, era fascinante seguir su evolucion de mariposas al capullo de seda, en el Vietnam volvi a verlos, continuar vuestas aventuras

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  5. retard de lecture comblé.... meme si j'echoue encore pour poster un commentaire mon voyage continu avec vous, biz à vous 2 et merci pour tous ces " fabuleux moment d'ordi "
    j'aurai bien du parier pour la remarque de mario à propos de la place universelle des femmes !
    nath

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  6. C'est qui Bouddha ?
    Non, sérieusement, pourquoi ont-ils appelé des arbres "fromagers" ? Sorties de leur contexte, des phrases telles que "Dans ce temple, les fromagers œuvrent également. Certains ont été coupés et on remarque leur bout de tronc asséché sur les pierres. " laissent songeurs...

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