Ho Chi Minh Ville

Et voilà ! Une arrivée à Ho Chi Minh Ville ça ressemble à ça : chaud, humide, scooter, masque, pollution, chaud, foule, chaud, brume, humide, chaud, humide. Bref un bon petit bouillon cube goût pollution !

Nous avons, après de loooonnnnngues minutes (et après plusieurs fausses indications données par les très serviables mais néanmoins très approximatifs Vietnamiens quand il s’agit de donner des  renseignements, et oui on a du mal à se faire comprendre mais ce n’est que le début), on a finalement décidé de prendre un taxi pour le district 12 pour rejoindre notre hôtel (là où l’on se trouve actuellement). Evidemment, force d’organisation oblige, nous n’avons pas regardé où se trouvait le district 12, et, évidemment, il se trouve biennnnn loin du centre.

Au final, être dans cet hôtel c’est pas si mal, il n’y a aucune figure « blanche » et même si tout le monde nous regarde quand on marche, on n’a pas l’impression d’être dans un tour opérateur ! Et la vue de notre chambre est extra, d’une part la grande avenue avec le ballet incessant des scooters, à peu près 90 000/minute, et d’autre part des habitations et des ruelles, on peut même voir des petits jardins et entendre des poules…

Le premier jour, c’était sieste pour tout le monde (après tout, on a le temps !) et le deuxième jour on a visité le centre disons plus touristique. On a failli mourir plus de fois que ne nous le permet les doigts de nos deux mains réunies. Traverser une route est un peu comme remettre sa vie entre les mains d’une centaine de vietnamiens cramponnés à leur scooter qui ont pour but du jeu d’éviter les autres motos, voitures, cars, piétons et autres objets roulants non-identifiés : le tout, venant, partant et traversant de façon aléatoire (ou en tout cas qui défie n’importe laquelle des logiques françaises).

Ensuite nous partons pour le Sud et le delta du Mékong, bien content quand même de quitter Ho Chi Minh …